TERRA HUMANA investit dans des sociétés qui mettent l’Homme et la Planète au premier plan, dans les univers de l’art, de la technologie et du bien-être.

TERRA HUMANA invests in companies that put people and the Planet at the forefront, in the worlds of art, technology and well-being.

PENSÉES

« C’est par là que tout a commencé, lorsque mon travail sur les musiques sensorielles et les musiques sacrées du monde m’ont conduit, lors du passage du millénaire, à prendre conscience de l’énorme chantier qui nous attendait pour sauver la planète. Alors j’ai pensé qu’il fallait réduire notre espace de vie à des surfaces humainement gérables. Créer des maillons sociaux plus accessibles. 22 ans après, c’est ce qu’on appelle la « relocalisation ». Beaucoup d’autres idées dans cette grosse étude ont été reprises depuis et paraissent aujourd’hui évidentes… Cinq ans plus tard, j’ai commencé à militer pour décarboner la mobilité au milieu des sarcasmes et de l’incrédulité… »
« L’appât du gain, la suprématie politique et économique l’emporteront toujours sur la prudence et la prise de conscience collectives qui paraissent pourtant élémentaires pour sauver le climat de notre Terre. Sans une autorité mondiale immédiate sans concession qui saurait imposer une stratégie ferme d’abandon définitive des énergies fossiles, ne rêvons pas, nous laisserons nos petits-enfants et arrières petits-enfants se débattre dans des problèmes climatiques aux conséquences inconnues et peut-être apocalyptiques. »
« La mère de toutes les erreurs qui ont conduit l’Humanité dans l’impasse où elle est aujourd’hui est sans contestation l’abandon du Beau.
Le Beau est la quête de ma vie. Le Beau n’est pas subjectif, il est unique, universel, intangible, gravé dans nos mémoires millénaires comme l’origine du monde. Nul n’a le droit, aucun artiste, aucun créateur, aucun architecte, aucun philosophe, de trahir le Beau. La société industrielle, les 30 glorieuses, le progrès moderne se sont succédés pour assassiner le Beau.
L’abandon, puis l’absence du Beau dans notre société est à l’origine de tous les maux : la paresse, la facilité, la révolte, la violence, la médiocrité, l’ignorance, la bêtise. »